Le programme vacances travail PVT permet de voyager à l’étranger. Cette manière de parcourir le monde est accessible aux jeunes de moins de 36 ans. Les conditions varient d’un pays hôte à l’autre, mais il vous faut prévoir de régler quelques détails importants avant votre départ.

Préparer le départ et souscrire une assurance

L’idéal serait de faire une réservation auprès d’une compagnie aérienne plusieurs semaines en amont de l’embarquement. C’est un moyen de profiter d’une remise. Dans la mesure du possible, il faut un billet open, c’est-à-dire sans date de retour précise. La durée d’un PVT peut atteindre 18 mois après un premier renouvellement. Il est aussi envisageable de programmer un voyage avec escale longue durée pour apprécier plusieurs pays en un seul déplacement. Dans tous les cas, il faut souscrire une assurance voyage. Cette dernière couvre les frais médicaux et éventuellement les responsabilités civiles. Ce genre de contrat peut coûter plusieurs centaines d’euros, mais il reste bien en dessous des dépenses de santé en cas de maladie ou d’accident.

Régler les détails administratifs et le budget sur place

Puisque le jeune bénéficiaire du PVT reste plusieurs mois, voire toute une année dans un pays étranger, le mieux serait de disposer d’un permis de conduire. Il est possible d’en faire une demande en France à condition de déposer la requête plusieurs semaines en amont du départ. Puis, le visa PVT n’est pas gratuit. Il peut coûter environ 300 euros pour l’Australie. Le tarif varie d’un État à l’autre. C’est également le cas pour le budget. Le billet peut revenir entre 600 et 1200 euros. Le renouvellement du passeport est une condition supplémentaire à observer. Ce serait très bien si le voyageur trouve un emploi pendant son séjour. Un poste à mi-temps permettrait de couvrir les dépenses sans priver de temps pour la distraction.

Lorsque vous voyagez en avion, vous avez le choix entre faire une réservation de place dans la classe économique ou dans la classe affaires. Vous vous posez alors la question : en quoi ces deux options se diffèrent-elles ? Les avantages dont vous pouvez bénéficier dans la classe affaires justifient-ils réellement leur coût ?

Focus sur la classe économique

La classe économique est celle qui est le plus prisée par les voyageurs en avion. En fait, comme son nom l’indique, la classe économique est une offre qui intéresse tout particulièrement les plus économes. Dans la partie de l’avion qui est dédiée à cette classe, vous profiterez d’un confort assez basique. Dans la plupart des cas, le niveau de confort de la classe économique est presque pareil pour toutes les compagnies aériennes. Mais parfois, certains facteurs peuvent quand même faire la différence : ancienneté de l’appareil, qualité et diversités de services disponibles à bord, etc. Très récemment, une certaine amélioration a été remarquée par rapport à la qualité des services que les compagnies aériennes proposent dans leur classe économique. En effet, la qualité et la diversité des repas qui y sont servis sont plus appréciables. Aussi, les passagers peuvent bénéficier de plus d’avantages comme la disponibilité d’un écran individuel.

Focus sur la classe affaires

Dans la classe affaires, les passagers profitent d’un meilleur confort que ceux qui se trouvent dans la classe économique. D’abord, il y a moins de voyageurs. Vous pourrez ainsi bénéficier de plus d’espaces, d’intimité et de calme. Ensuite, les sièges sont grandement plus confortables. Ils sont non seulement plus larges, mais ils sont aussi plus moelleux. Pour la plupart du temps, il est même possible de les transformer pour qu’ils deviennent un lit. Ainsi, vous pourrez vous reposer en toute tranquillité et en position horizontale. Pour ce qui est des repas servis, la différence avec ceux de la classe économique se voit comme le nez au milieu du visage. En effet, le luxe y est à portée de main. Champagne et toutes sortes de plats gastronomiques sont au rendez-vous. Par ailleurs, vous n’êtes même pas obligé de faire la queue avec les autres passagers lors de l’embarquement. Lorsque vous vous présenter à l’aéroport, vous êtes prioritaire. Vous pourrez ensuite avoir accès à un salon VIP en attendant l’embarquement. En fait, lorsque vous voyagez en classe affaires, vous apprécierez vraiment chaque minute que vous passez à bord de l’avion. D’ailleurs, une fois que vous faites l’expérience de voyager dans cette catégorie, vous aurez bien du mal à retourner en classe économique.

Les États-Unis mènent une politique stricte en matière d’immigration. Par contre, les touristes occidentaux qui souhaitent venir aux USA bénéficient d’un traitement de faveur grâce à l’ESTA. Cette autorisation de séjour temporaire est requise dans de nombreux types de voyages.

L’ESTA est indispensable pour fouler le sol américain

La Loi américaine exige l’ESTA pour tout séjour de courte durée aux États-Unis. Cela signifie qu’il vous faut cette autorisation de voyage, même si vous ne faites que transiter. Dès que vous descendiez de l’avion et sortiez de l’aéroport, ce document est exigé par la police des frontières. Vous risquez de vous attirer des ennuis sans ce précieux papier. Pour rappel, l’obtention de l’ESTA se fait exclusivement en ligne. Son coût reste très faible, tandis que la durée de délivrance est de 72 heures au maximum.

Le document concerne les ressortissants de certains pays uniquement

L’exemption de visa est réservée aux ressortissants des pays triés sur le volet. Ainsi, l’ESTA est accessible pour les titulaires de nationalité française, britannique ou allemande. Pour les États qui n’ont signé aucun accord avec l’administration américaine, il faut procéder autrement. Cela signifie que le visa est obligatoire, même pour un simple transit. Il faudra alors se plier aux différentes formalités à faire auprès du Consulat.

Envisager d’autres astuces pour contourner le document obligatoire

Il arrive parfois que la demande d’ESTA soit refusée par l’administration américaine. Diverses raisons peuvent aboutir à cette décision. C’est notamment le cas pour les voyageurs qui ont dernièrement mis les pieds sur le sol des pays ennemis. Les séjours dans les zones où les djihadistes sont formés deviennent problématiques. Il faudra alors envisager d’autres solutions pour ne pas transiter par les États-Unis. Un vol avec escale peut être tenté, mais il est important de rester dans l’avion, quelle que soit la durée de l’arrêt.